La digitalisation concerne de plus en plus de branches d’activités et se trouve au cœur de l’actualité économique. Les Directeurs Administratifs et Financiers sont également concernés. Plus un enjeu qu’une obligation, la digitalisation s’impose et se met au service du DAF de demain : connecté, digitalisé et réactif.

Garant de la bonne gestion administrative et financière de l’entreprise, le DAF voit s’ouvrir à lui de nouvelles opportunités grâce à la digitalisation. Le XXIe siècle signe l’ère du digital. Banque, finances, assurance, comptabilité… personne n’y échappe ! Gain de temps, sécurisation des processus, réactivité, productivité, les avantages sont nombreux. Malgré un certain coût, elle participe à l’optimisation des processus de gestion et à l’amélioration du fonctionnement des départements financiers et SI et, par rebond, de l’entreprise toute entière. Cette transformation numérique, facilitée par les avancées du monde digital, se matérialise au travers de différents leviers, qu’ils soient humains ou technologiques.

En quoi consiste cette transformation numérique ? Touchant l’entreprise dans sa globalité, le DAF est acteur de la « révolution du Big Data », de l’automatisation des processus et cela implique l’adaptation des méthodes de travail et le déploiement de nouveaux outils. La dématérialisation des processus permet une réduction des coûts et une meilleure gestion du temps et de la fiabilité de l’information financière. Les échanges entre services et départements sont également facilités par différents outils numériques, simplifiant ainsi le partage de l’information. C’est une véritable plus value ajoutée pour l’entreprise dont la performance est valorisée in fine.

La digitalisation peut sembler complexe à mettre en place et nécessite un certain temps d’adaptation. Des dispositions légales et européennes ont initié cette démarche telles que la loi du 26 juin 2014 instaurant l’obligation pour les émetteurs de facture à destination d’entités publiques, de facturer électroniquement ou la loi El Khomri prévoyant le bulletin de paie électronique. De même, le décret 2016-1673 relatif à la présomption de fiabilité des copies numériques a permis de se passer des originaux format papier. Malgré cet encouragement législatif et communautaire en faveur du numérique, certaines entreprises peuvent y voir un frein, une contrainte, voire être réticentes au changement. Comparé à nos voisins nordiques comme la Norvège, la Belgique, le Danemark ou la Suède qui ont déjà digitalisé leurs services administratifs et financiers, la France reste à la traîne dans le domaine.

Dans un interview publié dans les Echos, Marc Valy, Directeur Administratif et Financier de Limonetik a déclaré « À l’heure du digital, le directeur administratif et financier doit organiser et adapter l’entreprise à la donne numérique avec des processus plus fluides. Cela passe par exemple par la dématérialisation des processus et des factures, de plus en plus volumineux, tout en simplifiant et en homogénéisant les activités administratives et financières ».

Au coeur de cette révolution numérique, certains outils font leur apparition et permettent de simplifier la vie des DAF dans leur quotidien professionnel. C’est notamment le sens de la démarche de Fast Close qui permet d’accélérer les délais de clôture comptable par l’automatisation. ClosingReport aide les DAF dans leurs démarches grâce à un Fast & Quality Close simplifié et automatisé. Permettant de maîtriser de façon intuitive, le temps de clôture et fiabiliser les données, ClosingReport assiste les équipes financières, comptables et informatiques dans leur digitalisation.